Avant d’avoir le plaisir de vous présenter la première villa sur l’eau Elyt Charter d’ici la fin de l’année ou début 2020, nous vous rappelons les atouts de cette construction exceptionnelle : des volumes proches de ce qui se fait en habitat terrestre, avec environ 80 m2 pour chacun des deux niveaux,
3 ou 4 cabines, dont 2 grandes chambres, 2 salles de bain, un grand espace de vie avec salle
à manger, espace lounge et cuisine ouverte avec bar. Les ailes de chaque côté s’ouvrent complètement, ce qui apporte une vue traversante et une aération optimale.
Sur le pont supérieur, le poste de pilotage est à l’avant bâbord, tandis qu’un espace lounge couvert, à l’arrière, est équipé avec mobilier et banquettes modulables, ainsi qu’un barbecue et permettra grâce à son taud rigide, de récupérer de l’eau de pluie.
Le passage de l’air dans le tunnel central entre les coques du catamaran, à l’ombre et rafraîchi au contact de l’eau de mer, l’apporte rafraichi dans la structure et, par effet de convection naturelle, l’air chaud montant,
cette ventilation naturelle réduira nettement la température ambiante sans nécessiter de climatisation très énergivore.
La villa sur l’eau est très bien isolée : tout le pont supérieur a été réalisé en sandwich-mousse de 20 mm d’épaisseur. Ce matériau très résistant en structure globale est très léger et en même temps excellent isolant thermique grâce à sa faible densité (80 kg/m3).
Les parois murales sont creuses également (âme d’air), avec une peau en fibre de verre et à l’intérieur
un doublage en contre-plaqué, recouvert de papier peint vinylique. Cela crée aussi une très bonne isolation
et évitera les ponts thermiques. Cela résout pas mal de problèmes, notamment en matière de consommation électrique.
Or, la toiture technique est équipée de 10 panneaux photovoltaïques de 330 W chacun (soit 3300 watts pour l’unité, avec stockage en batterie lithium de 400 kg qui permet au bateau de se déplacer 1 h / j (on parle plutôt de déplacement que de navigation, c’est le principe de cette villa lagonnaire) et d’assurer tous les besoins énergétiques à bord (énergie thermo-solaire pour le chauffe-eau, WC électriques, pompes, brasseurs d’air)
en termes de confort. A-t-on déjà dit que nous avons hâte de voir la première unité se déplacer dans le lagon de Punaauia ?
Site internet :
Investir à Tahiti #03 - octobre 2019