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Agriculture, des objectifs ambitieux

Les terres de notre Terre sont mobilisées pour nourrir l’humanité. En 1999, les pâturages et les cultures représentaient à eux seuls 37 pour cent de la surface émergée du globe. Plus des deux tiers de la consommation humaine d'eau sont destinés à l'agriculture. En Asie, cette part en représente quatre cinquièmes.


Or, les méthodes d’exploitation et d’élevage sont problématiques, car elles ne sont pas durables. Ces activités ont un impact sur l’environnement : pollution de l’eau (nitrate, phosphates, pesticides), pollution de l’air, production de gaz à effet de serre (méthane et oxyde nitreux), perte de biodiversité, dégradation des sols, salinisation, réduction de la diversité génétique des cultures…

Les coûts, difficiles à quantifier, sont dommageables. La Polynésie n’échappe pas au constat. Si la production locale n’est pas extensive, la pollution existe bel et bien. À cela s’ajoute le coût énergétique lié à l’importation des produits alimentaires.


Pourtant, ces impacts peuvent être réduits en cas de changement de méthodes. Dans certains cas même, l’agriculture peut apporter des solutions en stockant par exemple le carbone dans le sol, en entretenant les paysages ruraux, la biodiversité, en apportant plus de confort en ville dans le cadre de projet d’agriculture urbains.





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